(Rire de gorge)
Charles, Charles, Charles... Tu ne changeras jamais. Toujours aussi prévisible. Les mêmes cartes jouées sans relâche... Nous ne pourons pas dire que ce chère Xavier n'est pas persévérant... Tu dis que nous avons oeuvré pour le bien-être des mutants ? Mais dequel bien-être parles-tu ? Je ne vois autour de moi que désolation. Des mutants qui sont obligés de se cacher. Qui ne peuvent vivre librement. Le premier mot qu'ils comprennent tous est: contrainte. Ils aprennent ensuite: malheur, tristesse... désespoir... Je ne crois pas que nous ayons, ensemble, oeuvré pour leur bien, non. Tu les rends faible et quémendeur de leur vie ! Tu leur laisses croire que les humains leur laisseront une place dans leur monde. J'ai vue cette place qu'ils ont laissée dans les camps... (son ton de voix devient plus grave) Je sais ce que peux faire les humains. J'ai vue les pires atrocité que cette race d'inférieur était capable de faire. La différence ? Il la détruise pour montrer leur puissance, pour anhiler leur faiblesse.
Combien de fois avons-nous eu cette discussion ? Combien de fois l'aurons nous encore ?
(Rire de gorge qui s'étire et disparaît lentement)
Tu veux une discussion ? Soite... Dit moi où, et nous y serrons. Mais, sache une chose, je ne suivrai pas cette méthode qui est le dialogue avec cette race... (d'un ton sec et sacader) d'invertébrer !