Quelques jours après la perquisition à l'école des surdoués et l'attaque du pont de Brooklyn, William Stryker est invité au journal parlé du soir.
Après quelques informations habituelles le journaliste accueil sur le Plateau William Stryker en personne.
Journaliste : "Bonsoir Monsieur Stryker, on ne vous connait pas très bien, veuillez vous présenter aux téléspectateurs."
Stryker : « Bien, je me présente William Stryker, je suis un membre important du Gouvernement dans la section Mutante, j’étudies le problème pour trouver une meilleure cohabitation entre mutants et humains, mais surtout apporter plus de sécurités aux humains contre des êtres comme Magneto. »
Journaliste : « Ha, nous avons donc un invité de haute marque. On m’a dit que pendant un moment vous aviez été déclaré mort ? Que c’est il passé ? »
Stryker : « Oui, j’ai été victime d’une attaque terroriste de certains Mutants, ils sont venu attaquer notre centre de recherche, ainsi que détruire tout notre travail. Mais heureusement je suis bien plus résistant que ca, j’ai été dans le coma pendant un moment au bord de la mort, mais je suis la et j’ai pu achever le projet de sécurité.»
Journaliste : « Parlez nous de ce projet. »
Stryker : « Avec plaisir, il s’agit d’un projet pour éviter que les hommes s’attaquent aux mutants innocents et apporter une plus grande sécurité aux hommes, en faites c’est assez simple, l’état demandera à tout les mutants de s’identifier ainsi que leur mutation et se verront greffer un appareil au poignet leur permettant de contrôler leur pouvoir et les désactiver. »
Journaliste : « Et si les mutants refusent votre implant ? »
Stryker : « Tout ceux qui refuseront seront considéré comme hors la loi et seront emprisonnés et jugé par la cours de protection contre les mutants. »
Journaliste : « Et bien voila un beau projet. Cher téléspectateurs nous attendons vos avis pas SMS ou par E-mail. Monsieur Stryker, je vous remercie et je vous dis au revoir. »
Le journal est fini et le programme continue normalement. William Stryker avait l’air en pleine forme.