Chambre de Malicia

Il caressa la joue de Marie, passant la main dans sa meche, il etait toujours penché au dessus d'elle, allongée sur le lit.

- "Tu auras toujours ma presence, tant que tu voudras ma presence sera la pres de toi. Mais qu'entends tu par me prouver d'une maniere ou d'une autre?"

Il resta la au dessus d'elle caressant doucement sa joue, il la regarda avec des yeux humains, des yeux du passé, il etait encore un peu epuisé de ce qui venait de se passer.

- "Marie, meme si tu me trahis, je ne te tuerai pas, jamais je ne te tuerai... Jamais."

Marie lui sourit. Elle ne parla pas pendant quelques minutes, pensant à rien (façon de parler! elle pense toujour à une personne!), regardant ses yeux.
Si seulement il pouvait savoir se que Marie ressentait comme joie intérieur de pouvoir être en contact avec une personne sans lui faire de mal, le toucher sans craindre d'avoir un vol de pouvoir.

Elle lu iprit la main, lentement, comme pour lui montrer la joie qu'elle resentait. Elle tourna la tête pour regarder le ciel extérieur par la fenêtre.
Elle ne tourna pas la tête pour lui répondre, pensive.

" Te prouver ma confiance en t'aidant par exemple, ou en utilisant mon pouvoir pour toi..."

Elle n'avait jamais encore utilisé son pouvoir sans être attaquée la première, toujours pour se défendre, mais elle pouvait le lui accorder.

Il regarda Marie, passant la main sur sa joue et tourna la tete de Marie vers lui doucement, il la regarda s'approchant et vint doucement murmurer a son oreille tres tendrement.

- "Je ne te ferai pas subir ca, je sais la douleur que tu ressens en faisant ca, je ne veux pas t'utiliser, juste que tu sois la, aupres de moi, j'ai besoin de toi."

Il releva la tete, face à elle les yeux dans les yeux, il savait ce qu'il voulait mais elle ne pouvait pas comprendre réellement. Il ne la quitta pas tes yeux, fixé droit dans son regard.

- "Tout ce que j'aimerai, je ne peux pas te le dire, cela viendra de toi si un jour tu en as l'envie."

Il etait la penché au dessus d'elle, si il pouvait il sentirait son coeur battre.

Etre auprès de lui, elle ne l'envisageait pas autrement désormais, rien que de ne pas le voir pendant la journée c'était dure. Il a besoin d'elle... preuve qu'il tennait au moins un peu à elle, et il venait de plus de lui sauver la vie il n'y avait pas une heure.

Elle ne comprit pas entièrement le sens de sa dernière phrase, se qui lui fit froncer les sourcils.
Elle sourit, elle avait envie que cet instant ne s'arrête jamais, qu'il reste indéfiniment là près d'elle, à veiller sur elle et lui offrir le bonheur qui pouvait lui offrir par sa simple présence.
Pendant plusieurs minutes, Marie n'ouvrit pas la bouche, le contemplant, incapable de parler. De tout manière pour dire quoi? Il n'avait rien à dire, les mots ne servent pas toujours, ses pensées étaient trop démonstratives de ce qu'elle ressentait.

Elle hésita un moment, puis se décida. Elle toucha de sa main la joue de Nathaniel et elle se redressa. Son regard encré dans le sien. Doucement, elle approcha ses lèvres des siennnes pour l'embrasser, elle en avait envie, il pouvait le lire.

Pendant les minutes qui passerent, il ne dit rien comme elle, l'admirant, il ecoutait les pensées de Marie, apprenant ce qu'elle cherchait ce qu'elle voulait, il se trouva meme etonné de voir tout ce qu'elle ressentait pour lui en si peu de temps, lui il avait 200 ans qu'il avait attendu ca, mais elle, comment pouvait elle ressentir ca tellement fort, aurait elle plus qu'une apparence.

Elle posa la main sur sa joue, il sourit sous cette douceur puis Sinister la regarda s'approcher, ses levres venant à lui, elle en avait envie, il ne pouvait pas refuser, Nathaniel le poussait, il avait aussi envie et il se pencha rejoindre ses levres et l'embrasser, lui offrir un baiser, le premier baiser depuis 200 ans. Il posa la main dans les cheveux de Marie lui soutenir la tête et lui offra un baiser tendre, doux, il laissa parler Nathaniel.

Ce moment était etrange, tel ses souvenirs, il recula doucement la tete par apres. La regardant souriant.

- "...merci..."

Il revint doucement pour embrasser Marie la main toujours dans ses cheveux.

Marie se laissa faire. C'était la première fois qu'elle embrassait quelqu'un en "sécurité". Elle en avait eut tellement envie depuis qu'elle avait eut confiance en lui, pourquoi ses sentiments envers lui étaient si soudain, si forts? Probablement parce qu'il avait la réponse à toutes les questions que se posait Marie, et celle du bonheur en faisait partie.
Et tout deux, bien que Marie soit avec Bobby, ils se sentaient seuls, incompris, c'était probablement un lien fort qui les unisaient, pas seulement le hasard, ils étaient fait pour se rencontré.

Elle était aux anges. S'il y avait un paradis sur terre, pour Marie c'était celà, vivre avec lui jusqu'à la fin.
Elle déposa sa tête sur son épaule, pensive, heureuse, tout ces soucis étaient partis, et sans aucun regret, tout les souvenirs de Bobby venaient de partir en fumée.

" Tu ferras quoi quand je serais passée de l'autre côté de la barrière?"

C'était un peux précipité comme question, mais elle avait envie d'y répondre. Après tout c'était un problème réèl. Il est immortel, et elle est mortelle...
Elle déposa un baisser sur sa joue comme pour lui signifier qu'il n'était pas obliger d'y répondre tout de suite. Elle le pensait aussi.

Il etait aux anges, son regard avait changé, on aurait cru voir un humain, plus de froideur, il etait 200 ans plutot, reveur. Il caressa sa joue profitant du contact avec sa peau.

Puis elle posa cette question, sur le moment douloureuse, tres douloureuse.

- "Marie, je ne peux pas te donner l'immortalité, cela te... changerai, je ne prefere pas imaginer ce qui ce passerait le jour ou tu passeras de l'autre coté... Tu es ma reine, pour tout les ères à venir, et même quand tu passeras de l'autre coté tu resteras ma reine..."

Il la porta contre lui, la tete de marie dans le creux de son epaule.

- "Avec toi, je suis humain, je me sens bien, ne parlons pas de la mort..."

Marie comprennait ce qu'il disait. Il l'aimait ainsi, pas immortelle, sa mortalité n'était pas une faiblesse, mais justement ce qui lui prouvait qu'elle était en vie, et qu'elle pouvait la quitter à tout moment. C'était cette faiblesse qui lui faisait apprécier Marie, probablement..

Sa reine, elle n'en demandait pas autant, seulement qu'il reste avec elle et qu'il l'aime pour ce qu'elle était et non ce qu'il voulait qu'elle soit.
Si on lui demandait dans le futur de décrire cet instant, elle en serait incapable, elle était tellement bien, sereine. Elle voyait la vie avec bonheur, et plus sans lui désormais.
Elle aurait aimer le connaître en d'autre circonstences, sans cette stupide guerre qui commençait entre les mutants et les humains. Nathaniel pouvait surement être en danger, il est immortel, mais comme toutes personnes, mutantes ou humaines, il a surement un point faible qui pourrait le tuer.

Elle chassa cette idée noire de sa tête pour profiter au maximum de l'instant présent.

" Nathaniel?.... Tu as toujours l'intention de m'aider avec mon pouvoir, même si avec toi je ne risque rien?"

Elle aurait pu dormir ainsi, blotie contre son cou. Elle aurait voulu que le temps s'arrête pour l'éternité, mais le temps n'est pas fait pour être contrôlé.

Il regarda Marie droit dans les yeux sans vraiment comprendre le sens de sa question, ou plutot le pourquoi de cette question.

Il deposa doucement Marie sur le lit la regardant droit dans les yeux en caressant sa joue doucement.

- "je t'ai promis de t'aider pour ce que tu as, pourquoi retournerai je sur ma decision? Au contraire je veux le faire pour que tu te sentes heureuse aupres de ceux qui te sont chers... Tu ne veux plus te separer de ce pouvoir?"

Il caressa sa joue l'admirant passant la main dans ses cheveux, pour lui juste ce moment etait deja un moment eternel, sa notion du temps tellement differente, un moment qui pourrait vivre en lui encore 200 ans.

Marie était de nouveau étendue sur le lit, pensive. Elle réfléchit un moment à la réponse de Nathaniel, cherchant la vairitable réponse à cette question.
Elle avait dans sa main gauche, celle de Nathaniel, elle ne pouvait plus quitter son contact. Elle ne savait pas depuis combien de temps ils étaient ensemble dans cette chambre, elle ne se rappelait même pas si c'était depuis ce matin même qu'il était venu ou depuis plusieurs jours.
Le temps avait couler sans les toucher, comme si sa caresse faisait que de les effleurer.
Elle reporta ses yeux sur son visage pour lui répondre, bien qu'il sache déjà la réponse.

" Les êtres qui me sont cher... c'est toi, et personne d'autre. Mon don peut peut-être t'être utile en quelque chose, et comme je ne peux pas l'utiliser avec toi, pourquoi me l'enlever si je peux m'en servir pour t'aider..."

Elle laissa la fin de sa pensée dans son esprit, il pouvait la lire, et Marie ne voulait pas que la bonne qui pouvait très bien être dans les couloirs sache tout d'elle.

Il vint deposer un baiser sur le front de Marie, la main toujours à lui caresser la joue. Il etait etonné de l'offre de Marie, vraiment etonné, si elle avait accepté d'etre ici, c'etait pour se liberer de son pouvoir et la elle voudrait le garder pour l'aider lui? Elle ne se rendait meme pas compte de qui il etait.

- "Marie, tu es venu pour que je t'aide, ne pense pas à ce que tu pourrais faire pour moi, mais à ce que tu as envie, te rends tu compte que si tu le gardes en toi, il y aura que moi que tu pourras toucher, sauf si je viens a chaque fois que tu as besoin brider ton pouvoir."

Il se pencha doucement sur elle et revint s'approcher, l'embrasser à nouveau avec plein de douceur et de passion, la main sur sa joue continuant à la caresser.

Marie était sur de son choix. Qui d'autre aurait-elle envie de toucher? Elle pouvait toujour mettre ses gants si elle en avait besoin. Elle avait envie de lui rendre un service comme lui s'était proposé, et se proposait toujour de l'aider, elle voulait en faire autant. Elle ne voulait pas que ce soit lui qui donne tout sans rien recevoir.

Elle frémit au contact de ses lèvres. Elle était tellement heureuse, elle venait d'enfin trouver la voie qu'elle avait toujour cherché.
Il est si doux, si attentionné, elle n'arrivait pas à comprendre sa réputation.
Il était près à tout sacrifier pour Marie, et a consacrer sa vie pour que Marie puisse contrôler son pouvoir.
Quand leur lèvres se séparèrent, elle le regrda dans les yeux, ses yeux si exprésifs, elle ressentait tellement de choses à travers eux.

* C'est comme tu le désires, je t'aime, et si je peus t'aider en quelque chose, je suis prète à t'aider.*

Elle ne parla pas, elle aimait lui parler par téléphatie.

Il entendit ce mot, aimer... aimer... qu'est ce que cela pouvait bien dire... il aimait Marie ou juste ce qu'elle represente, ou les deux, mais il ne pourrait pas le dire, il ne connait pas vraiment ce que sont les sentiments et les emotions, l'humain en lui etait depuis tellement longtemps en torpeur.

- "Je ne doute pas de toi ni de tes intentions Marie, je ferai ce qui me semble le plus juste, je tenterai d'abord de trouver pour que tu puisses les controler, si ca marche pas je te soignerai..."

Il passa doucement sa main sur les levres de Marie, toujours souriant.

- "Je t'ai dis, a part pour toi, je ne suis pas un être de grande bonté, j'ai cette reputation car j'ai été dans les legendes, ce qui precede l'Apocalypse."

Marie sourit quand il employa le mot " soigner", elle n'est pas malade, il parlait quelque fois comme Cya, ou Logan, bien qu'ayant une tout autre façon de consevoir la chose.
Marie pensait bien qu'il ne devait pas être un tendre tout les jours, on ne forgeait pas une réputation sans qu'il y ait un peu de vrai dedans. Il ne semblait pas avoir envie d'être ainsi avec elle, mais elle avait envie de le voire une fois qu'il n'est pas tendre, voire à quel point il est différent.
Il devait être encore plus beau, plus sombre certes, mais surement plus étrange, ce qui faisait son charme, dans un moment pareil.
Elle parut étonnée en entendant qu'il avait été dans les légendes qui précédaient l'Apocalypse, elle le savait âgé mais pas à se point.
Comme quoi son don d'immortalité l'avait bien concervé! Une fois dit, elle comprit son goût vestimentaire, il l'avait modifier durant les époques, mais en gardant la façon de se vêtir qu'il aimait toujour à travers les âges.

" Avant L'Apocalypse? Tu ne parait pas ton âge!"

Elle riait, ça lui faisait du bien de pouvoir être aussi directe avec lui sans rien risquer.

Il soupira en entendant les pensées de Marie.

- "Non, tu ne m'as pas comprit, les legendes, rumeurs si tu preferes, disaient que je precederai l'Apocalypse, que quand je ressortirai au monde exterieur ce serait le presage de la fin de l'ère connu."

Il se redressa regardant ses mains.

- "Si tu me voyais à l'action, tu me fuirais... Tu ne voudrais plus de moi..."

Il regardait ses mains comme si il voyait tout les morts qu'elles ont provoquées, mutants, humains, Morlocks, tout des cadavres...

Il resta comme ca redresser.

- "Je ne veux pas que tu me fuis..."

Marie semblait l'avoir touché. Elle se redressa elle aussi, et prit ses mains dans les siennes. Elle les embrassa comme pour enlever les souvenirs que Nathaniel semblait y voir.
Le fuir, jamais, à moins que ce soit lui qui le lui demande. Sous aucun autre prétexte elle partirait. Même si elle souffrait, elle resterait ici, c'était sa demeure désormais, dehors elle n'était plus rien, et pour l'amour qu'elle lui portait, elle ne devait pas le fuire, il avait besoin d'elle.

" Me permettras-tu de sortir de cet endroit pour m'aérer? Tu peux venir avec moi si tu le désir, mais je ne veux pas non plus être un poids pour toi, je peux me débrouiller seule, avec ou sans mes gants! "

Elle sourit. Elle avait aquis une grande confiance en elle en cet endroit, elle avait confiance en son pouvoir, elle n'en souffrirait plus.

Il se remit à sourire à Marie, prenant doucement ses mains. Il regarda tendrement le visage de celle si et revint l'embrasser, un baiser avec plus de chaleur, plus de douceur et de confiance que le dernier, comme si Marie avait su toucher le plus profond de l'humain en lui. Il quitta lentement les levres de sa douce.

- "Marie, tu sais bien que tu peux sortir, tu es totalement libre, je dois terminer quelques petites choses, et si tu es pas rentré et que tu veuilles bien je te rejoindrai, ou que tu sois je pourrai te retrouver, il me suffira de suivre ton amour."

Il se releva pour laisser Marie se preparer.

- "Je...."

Il avait envie de le dire mais c'etait si dur.

- "Je t'aime..."

Marie fut émue par ce que lui disait Nathaniel, il pourrait la retrouver où qu'elle soit, elle n'aurait donc plus peur de se promener seul, elle savait qu'il allait veiller sur elle n'importe quand, il lui suffirait de penser à lui pour qu'il vienne ou du moins qu'il la soutienne.

Elle se leva du lit et se dirigea vers l'armoire de la pièce pour y sortir un challe pour ne pas avoir froid si elle rentrait de nuit. Elle fit une tresse à ses cheveux, le dos tourné à Nathaniel. Bien évidemment qu'il pouvait la rejoindre, elle en serait même en chantée.

Elle allait ouvrir un tiroir pour en sortir ses gants, par pure précausion, dehors elle n'était pas à l'abri, et ellese releva brusquement. Nathaniel l'avait touchée au plus profond d'elle même en prononçant ces trois mots. Elle ne l'avait jamais ressentit à ce point là. Bobby le lui avait déjà dit, mais pas aussi soncérement, pas aussi profondément. Nathaniel parlait avec son coeur.

Elle se retourna, les larmes au yeux. Elle s'approcha de lui, lui prenant les mains. Elle l'embrassa.

* je ressens bien plus que ça..."

Il lrepndit à ce baiser avec son coeur, il en etait etonné d'en avoir un. Il se decolla tres lentement de ses levres souriant les yeux fermé ayant été tellement concentré sur le sens du touché. Il lacha doucement les mains, ses doigts frollant les siens jusqu'a la pointe.

- "Je serai la, toujours la, meme si tu me vois pas, je veillerai sur toi..."

Comme un galant homme , il lui ouvrit doucement la porte.

- "Si tu veux que le chauffeur te depose quelque part n'hesites pas à lui demander."

Il deposa doucement sa main a la taille de Marie lui souriant, puis la laissa partir.

Marie lui sourit. Il avait changer depuis l'autre jour, il s'était ouvert à elle, elle ne pouvait pas lire ses pensées, mais elle arrivait à déchifrer en lui les grandes lignes de celle-ci.

Elle enfilla ses gants, et sortit de la chambre . Après quelques pas, elle s'arrèta. Elle tourna la tête pour voir le visage de Nathaniel avant de partir.
Elle le regarda un instant et continua sa route. Elle trouva rapidement la porte de sortie bien qu'elle ne l'ai jamais utilisée.
Dehors, le soleil commençait à se coucher, le temps passait incroyablement vite, elle remonta sur ses épaules le challe qu'elle avait prit, se retourna encore une fois, regrdant la fenêtre qui donnait sur la rue.

* Rejoins moi quand tu auras fini...*

Elle avança dans les ténèbres grandissantes, sur d'elle, ne craignant presque plus rien sauf une chose, sa colère.

Il se faisait tard, tres tard, Sinister avait travaillé sur son arme. Il se releva et se dirigea vers sa chambre, une fois devant la porte il posa sa main dessus et se concentra reprenant forme humaine.

*j'espere qu'elle est la*

Il se concentra sur la porte voir si l'esprit de Marie etait la ou si elle etait encore dehors, cherchant à la localiser.

Marie était rentrée depuis un peu moins de deux heures. Elle avait passé par la cuisine pour prendre un morceau de pain afin de manger,elle avait demandé aux servantes de ne pas la déranger avant le lendemain.
Elle avait monté les marches qui menaient jusqu'à sa porte, en silence. Une fois dans sa chambre, elle avait retirer ses gants, enlever son challe et défait ses cheveux.
Elle s'était douchée et changée, elle avait revêtu sa chemise de nuit. Elle avait ouvert la fenêtre pour remplir la pièce d'une température agréable, et elle était allé se coucher dans son lit.
Elle ne dormait pas, elle était pensive, un peu trop peut-être. Elle se retourna sur son côté droite et fixa le mur.
Elle allait fermer les yeux quand elle sentit une présence en elle. Elle se retourna pour voir la porte et se redressa sur son lit, assise.

* Tu peux entrer je suis là....*

Elle pensa fort à lui, elle n'avait pas encore testé la télépathie à distance, elle ne savait pas s'il était obligé d'avoir un contact visuel avec elle pour lui parler.

La porte s'ouvrit et Sinister vint dans la chambre, son aura Glacial disparaissant des qu'il vit Marie sur le lit. Il avait un sourire heureux de la voir. Il referma la porte derriere lui et avanca vers elle jusqu'au bord du lit.

- "Je suis navré Marie, j'etais fort concentré dans mon travail, ta ballade fut agreable?"

Une chaise vint à lui d'un coup derriere lui et il s'asseya à coté du lit la regardant.

- "Tu sais si tu penses à moi je l'entendrai ou que tu sois."

Il l'admira voyant une femme aussi belle de jour comme de nuit, une femme qui sera toujours aupres de lui.

- "Je suis désolé de t'avoir reveillé."

Marie lui sourit. Il l'avait entendut. Il ne semblait même pas fatigué, même après autant d'heures de travail.
Elle redressa son oreiller pour le poser derière son dos affin de pouvoir s'appuyer dessus. Même avec la fenêtre ouverte, elle n'avait pas froid.

" Oui elle m'a permis de me remettre en cause et d'affirmer définitivement mes choix. J'avais pris l'habitude à l'institut d'en faire quand je me sentait mal à l'aise ou quand au contraire je me sentait en pleine forme, j'aime bien me retrouver un peu seule dans un endroit que je ne connais pas, comme si je pouvais m'y ressourcer."

Elle fut surprise en voyant la chaise se déplacer jusqu'à Nathaniel. Décidement, mais en sachant de quoi il était capable, elle en était souvant surprise.
Comme à chaque fois il répondait à ses pensées, ce n'était pas déplaisant.Elle était heureuse d'entendre qu'il pouvait l'entendre de n'importe où juste par le fait qu'elle pense à lui.
Ce n'était pas très difficile, elle devait déjà se retenir de ne pas penser à lui à longeur de journée...
Elle était gênée, elle avait oublié en quelle tenue elle était.Elle détourna son regard se sentant rougir.

" Je ne dormais pas, je n'en avais pas l'envie..."

Il la regarda dans les yeux souriant, et il était touché de la voir rougir.

- "Preferes tu que je sortes, tu as l'air genée et je ne souhaitais pas cela."

Il l'admirait sa douce Marie avec un regard tendre et doux.

- "Mais tu as pas a etre genée, cette tenue te met clairement en avantage, et tu m'as bien ouvert ton esprit qui pour beaucoup est bien plus intime que la tenue portée."

Il avait envie de s'assoir dans le lit pres d'elle mais n'en faisait rien, elle etait deja assez genée ainsi.

- "Pourquoi n'avais tu pas envie de dormir, aurais tu eu l'envie de m'attendre, de me voir ou d'être aupres de moi avant de t'endormir?"

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