Chambre de Malicia

Marie qui était un peu gênée l'était franchement désormais. Elle ne savait plus quoi dire! Il y avait des fois, où lire les pensées lui jouait de sacré tours!
Elle avait envie d'enfoncer sa tête sous terre pour qu'il arrête de la regarder ainsi.Elle essaya de ne pas pensé aux réponses qu'elle devait lui faire pour sa dernière question.
Elle baissa la tête presque honteuse de ne pas avoir au moins mis quelque chose en dessus, et ferma les yeux avant de relever la tête pour lui répondre franchement, bien que ça la rendait encore plus gênée de le lui avouer en parlant.

" Je préfère te répondre franchement puisque de toute manières tu le liras si je ments. Je ne voulais pas dormir parce que je voulais te voire, et pouvoir t'avoir un moment au près de moi avant de pouvoir dormir."

On aurait été incapable de voire une différence entre une tomate et le visage de Marie. Elle n'avait jamais été dans une situation aussi gênante que agréable.

Il se leva toujours souriant et vint s'assoir dans le lit à voté d'elle, prenant une main dans la sienne et de l'autre venant lui caresser sa joue si rouge et chaude.

- "Ne soit pas si genée, tout va bien. Tu vois je suis venu te voir, je suis pres de toi, juste la à coté de toi, contre toi."

Il la releva legerement pour qu'au lieu de prendre appuie sur son oreiller elle puisse prendre appuie sur son torse doucement sa tete contre son coeur, lui l'admirant se penchant lui offrir un baiser sur son front.

- "Tu es magnifique, et tu es attachante, regarde, je travaillais et j'ai eu l'irresistible envie de venir te voir."

Il caressa sa joue doucement, ne quittant pas ses yeux.

Cette fois il avait fait expret! Elle aurait mieu fait de se taire! Mais elle en était incapable, c'était ses yeux qui lui avaient obligé à parler, à avouer.
En plus d'être gênée, maintenant qu'il était près d'elle, elle était endue ne sachant comment réagir.
En même temps elle voulait être avec lui, et en même temps fuire, c'était troublant come situation. Encore une fois elle devait écouter son coeur ou sa raison.
Mais la dernière phrase qu'il prononça anéantit toute possibilité d'écouter sa raison. Au épuis zute! Elle l'aime, elle ne peut pas non plus lui demander de ficher le camp quand il vient la voir! S'il n'était pas venu, elle ne se serait pas endormie avant au moins 3h du matin, espérant qu'il vienne, et après elle aurait fini par s'endormir, mais pas dans un sommeil confortable.

Elle se rendit compte que se n'était pas sa présence si proche d'elle qui la mettait mal à l'aise mais les compliments et les regards qu'il lui jettaient. Elle leva les yeux pour le regarder franchement, se détendant appuyée contre lui.

" Si je suis aussi gênée, c'est par ta faute! Il m'est pratiquement impossible de penser sans que tu les lises, et ton regard......."

En résumé, elle était pratiquement entraint de fondre sous son charme, c'était le sentiment qu'elle avait.
Elle appya sa tête sur son torse, se détendant de plus en plus et retrouvant sa couleur normale de peau.

Il posa doucement une main sur le ventre de Marie, l'autre continuant à caresser sa joue, puis sa nuque en passant par les cheveux.

- "Mon regard est celui d'un homme ayant redecouvert quelque chose apres 200 ans de solitude, un regard tendre. Et si tu es aussi gené c'est en partie car tu ne pensais jamais vivre ce genre de situation, avant tu avais peur du contact, comment aurais tu pu t'imaginer être dans cette tenue dans les bras d'un homme."

Il se pencha juste deposer un leger baiser sur les levres de sa douce, le regard dans le sien, se noyant dans ses yeux.

- "Ta douce presence, ta chaleur, tout ceci sont des choses qui m'etaient devenu inconnue, aupres de toi je suis different, je pourrai passer la nuit, ici, te gardant dans mes bras, te serrer contre mon coeur."

Cette fois ci, Marie était achevée. Les deux phrases qu'il venait de prononcer exprimait le fond de sa pensée, il venait de lui réveller ce qu'elle se cachait à elle même.

Plus mal à l'aise, elle ne le pouvait pas.Elle n'avait jamais été aussi proche d'un homme, en plus d'un homme à qui elle n'arrivait rien à refuser.

* Seigneur!...*

Elle leva les yeux au ciel. Elle qu iavait réussi à se détendre était denouveau tendue. Il la faisait rire avec ses pensées dites tout haut. Il savait très bien que Marie pensait la même chose, elle aussi avait envie de rester avec lui, mais elle était un peu sur la défensive...

Elle détourna le regard, incapable de répondre à sa phrase, elle cherchait quelque chose pour ne pas être à se point mal à l'aise, mais chaque fois qu'elle trouvait une solution, il l'enfonçait encore plus bas dans sa gêne.

Mais elle était encore plus inconfortable de ne pas le voir et de sentir son regard sur elle. Elle retourna a tête lentement, d'abord la tête et enfin les yeux suivire.

C'était encore pire, il souriait maintenant! Et etrangement, le temps semblait prendre un malin plaisir à passer au ralenti.

Il l'allongea doucement Marie sur le lit, la deposant delicatement comme une princesse, la main glissant de son ventre à sa taille, son regard dans le sien, souriant sous toute les pensées de Marie. L'autre main toujours dans ses cheveux, il la regardait percant son regard, il se rapprocha doucement l'embrasser, un baiser long et doux, comme pour l'envouter. Puis il se decolla de ses levres mais resta proche son souffle sur les levres de Marie à chaque mot.

- "Marie, si tu le souhaite vraiment je peux rester avec toi, toute cette nuit aupres de toi, te tenant dans les bras, mais je comprendrait que tu preferes que je sorte."

Marie n'arrivait même plus à penser à autre chose que lui, comme s'il occupait son esprit tout entier.
Elle qui n'avait jamais pu toucher une personne depuis que son genne avait évoluer, elle n'arrivait pas à se séparer de son contact désormais.
il avait un regard tellement perçant, insistant, qui lisait à travers Marie sans qu'aucun obstacle soit sur sa route, elle n'avait même plus besoin de pensé, il comprennait avant même qu'elle ait formulé la pensée.

Il était si proche qu'elle pouvait sentir sin souffle réconfortant, et sa main sous sa nuque, elle ne voulait plus fuir, plus se cacher, il était entraint de tout découvrire sur Marie, il l'a conaissait mieu qu'elle-même se connaissait.

"Non, non ! Enfin si!..... Mais ..... ne pars pas......"

Elle déposa sa main sur la joue de Nathaniel, et son regarda encré dans le sien, elle avait perdu toute notion de temps et d'espace.

Il l'ecouta ses pensés, comme ses paroles, confusent, et il se mit à sourire doucement. Venant murmurer à son oreille apres avoir deposer un doux baiser dans son cou.

- "Je resterai, je ne partirai pas."

Penché au dessus d'elle, il detacha le premier bouton de sa chemise de nuit pour lui permettre de respirer plus facilement et il glissa sa main sur l'epaule de Marie, ne la quittant pas des yeux se laissant glisser à ses cotés dans ce lit. L'autre main passa dans sa meche de cheveux doucement.

Il ne la quitta pas des yeux, la tenant contre lui, corps contre corps, pouvant sentir sa chaleur.

Marie arriva à lui décrocher un sourire. Elle était complétement absorbée par ses yeux, elle ne sentit même pas quand il décrocha son bouton, elle sentait juste sa main au niveau de son coup, il était tout ce qu'elle avait rêvé.
Elle passa délicatement sa main dans ses cheveux et l'embrassa comme elle n'avait jamais pu le faire, avec passion et amour.
Elle était au paradis qu'elle croyait à jamais révolu. Tout ce que son pouvoir lui avait toujour interdit, il le lui offrait il avait changé, elle le changeait désormais. La première fois qu'elle avait vu Nathaniel, il lui avait semblé froid et distant, il voulait avant tout l'utiliser à ses fins, elle l'avait lu dans ses pensées la nuit où il avait perdu le contrôle de lu imême.
Désormais ce n'était plus le cas, ou alors il se prétait tellement bien au heu, que Marie en fut incapable de le percevoir. Ils retrouvaient tout deux le contact qui les faisaient souffrir de ne plus avoir..

Ses pensées restaient confuses, elle sentait en elle que quelque chose changeait, elle en était incapable de dire ce que c'était.
Elle n'était sur que d'une chose; elle aimait Nathaniel!

Il prolongea le baiser de Marie qui en disait plus que tout les mots du monde. En prolongeant ce baiser il commenca à deboutonner à moitier la chemise de nuit. Il glissa sa main dessous juste sur le ventre de Marie pour qu'elle sente le contact de peau à peau caressant un peu son ventre.

L'autre main caressait sa nuque du bout des doigts pendant qu'il continua à l'embrasser sans voulant se decoller d'elle, restant contre elle, avec elle.

Il etait bien avec elle la, n'allant pas plus loin, preferant être sur qu'elle le souhaite, sachant tres bien qu'elle sera lui faire comprendre. Il se decolla doucement de ses levres souriant la regardant au plus profond de ses yeux comme si il percait son ame.

Marie se sentait bien, mais pas entièrement. Elle avait peur à chaque baiser, qu'il la touchait, que son pouvoir à elle prenne le dessus et qu'elle lui fasse mal.
Elle n'était pas habituée à avoir un contact aussi intense depuis longtemps, elle stressait plus qu'autre chose, bien qu'elle avait confiance en lui et qu'il savait surement se qu'il faisait.
Elle le regardait dans les yeux, et en une fraction de seconde, elle comprit ce qu'elle devait faire, il ne lui en voudrait pas. Il allait l'embrasser encore une fois, mais elle entreposa, sa main sur ses lèvres.
Elle le regardait dans les yeux, le regard emplis de pardon, mais elle ne pouvait continuer.

" Pardon.... je.... j'ai trop peur..... je n'arrive pas à ne pas y penser....."

Tout en parlant, ses pensées complétaient les vides, elle était vraiment navrée pour lui, mais elle n'arrivait pas à surmonter cette peur, une de ses plus grosses.

Il retira la main de dessous la chemise de nuit refermant tout les boutons sauf le dernier par la telekinesie et posa un doigts sur les levres de Marie.

- "Chut... ne demande pas pardon, j'ai été trop vite, je te comprend, n'ait crainte, tu as des peurs en toi, je le sais, ne t'inquiete pas."

Il passa la main dans ses cheveux tres doucement la caressant pour la rassurer, pour lui rapporter du reconfort.

- "Veux tu toujous que je reste pres de toi cette nuit? Ou preferes tu que je me retire?."

Il ne la quitta pas du regard, aucune colere, aucune contrariété, il la comprenait, il savait qu'elle souffrait encore de son pouvoir.

Elle en avait presque envie de pleurer, cette peur qui lui rongait l'intérieur sans qu'elle puisse s'en défaire.
Mais Nathaniel la comprennait, pour une fois la télépathie était utile, il n'en voulait pas à Marie, c'était presque même lui qui s'excusait.

Elle l'admirait, il était tellement compréhenssif envers elle, il voulait avant tout son bonheur à elle, même s'il devait faire des sacrifices.

" Reste s'il te plait, ta présence me réconforte......"

Elle voulait se sortir cette peur de la tête, elle ne risquait plus rien et si elle continuait à l'écouter ainsi, elle allait finir par fuire parce qu'elle aura même peur de lui serrer la main.
Il pouvait surement l'aider à surmonter cette peur qui ne lui permettait pas de vivre normalement, même avec lui.

Elle voulait rester dans ces bras, être protégée par lui,ressentir sa présence réconfortante jusqu'au matin, pour oublier sa douleur.

Il vint la serrer dans les bras, caressant ses cheveux doucement comme la bercant. Il la blottit dans ses bras doucement, posant sa tete sur le coeur doucement.

- "Je reste, endors toi, je serai encore la a ton reveil, n'ai pas peur, je serai toujours la, quoi qu'il arrive."

Il la regarda doucement, la tenant contre son coeur, deposant un doux baiser sur son front. La main continuant à passer dans ses cheveux si doux si beau et il resta la, il restera la toute la nuit veiller sur son sommeil.

Après à peine une heure, Marie s'endormit. Elle sentait la présence réconfortante de Nathaniel près d'elle alors elle put enfin dormir bien, tranquille, se sentant en sécurité et aimée.

Elle ne fit aucun rêve, mais comme si elle n'avait pas dormis depuis des journées entières, elle dormait profondément, pendant plus de 10h d'affilées, elle n'avait pas autant dormit depuis longtemps.

En se réveillant, c'était comme si elle renaissait, qu'elle redécouvrait le monde d'une autre façon, qu'elle avait laissé la souffrance derière elle.
Elle remua et ne put s'empêcher de sourire en sentant que Nathaniel était toujour auprès d'elle, pour une personne qui ne dormait pas, il avait du trouver le temps long.

Elle ouvrit les yeux pour voire son visage. Il semblait s'épanouir de jours en jours.

" Bonjour!^^ Ca faisait longtemps que je n'avais pas dormit autant! Pas trop longue la nuit pour toi?"

Elle déposa un baiser sur sa joue, en guise de bonjour, de merci.

Il n'avait pas dormit de la nuit et il caressa la joue de Marie doucement, souriant et venant deposer un baiser sur son front.

- "Bonjour toi... non le temps est passé tres vite pendant que je t'admirai. Tu es vraiment magnifique quand tu dors, le visage si calme et paisible."

Il lui caressa encore la joue doucement passant la main dans ses cheveux.

- "Tu veux que je te laisse t'appreter, je pourrai aller te chercher ton petit dejeuner."

Et il la regarda tres doucement, sa main frollant sa peau de la sienne.

A peine réveillée qu'il pouvait déjà la faire rougir! Elle avait un peu mal au dos, d'abitudes elle bougeait beaucoup la nuit à cause de cauchemards ou de mal être intérieur, mais la présence de Nathaniel avait permis à Marie de dormir parfaitement tranquillement.
C'est pour cette raison qu'elle avait un peu mal partout. Elle se redressa pour pouvoir bouger sans envoyer des coups de points à Nathaniel.
Elle se massa les épaules et la nuque, mais elle sentait le regard de Nathaniel dans son dos, elle n'était pas encore totalement abituée à ce sentiment, pas de mal aise, mais un peu gênant parfois.
Elle tourna le haut de son corps pour voir le visage de l'homme qui était alongé près d'elle.

" Parfois je me dis que c'est préférable que ce soit toi qui lise mes pensées que le contraire...."

Elle lui sourit de plus belle, elle avait effectivement un peu faim comme il l'avait lu, mais elle voulait encore profiter de lui avant qu'il parte travailler dans son labo, elle pouvait déjeuner plus tard.

Nathaniel l'admira, regarda chaqu'un de ses gestes comme si il voulait les memoriser. Il se redressa et vint lui masser un peu les epaules et la nuque, tout en douceur.

- "Pourquoi preferes tu cela? Tu n'aimerais pas savoir lire mes pensées? Tu en aurais peur??"

Il continua doucement à la masser, son aspect, son regard, ses gestes tout paraissait plus humains qu'au debut. Il déposa un baiser sur son epaule doucement.

- "Oui je peux encore rester pres de toi en attendant que tu veuilles manger, il n'y a pas de probleme."

Décidement, il était doué en tout ce qu'il entreprenait. Les massages qu'il lui faisait , faisaient beaucoup de bien à Marie, elle n'avait plus mal dans ses muscles.
Elle appuya son dos contre le torse de Nathaniel et laissa aller sa tête en arière pour qu'elle se love dans le creux entre le cou et les épaules.
Elle était heureuse, vraiment heureuse. Elle n'avait pas eut la chance au paravant, mêne encore humaine, enfant, de ressentir autant d'amour venant d'une seule personne.

Maintenant elle devait lui expliquer le fond de sa pensée, ce qu'il lui avait fait dire qu'elle ne voulait pas lire en lui.

" Je n'aurai pas peur, mais des fois tu me regardes si intensément, je n'ai pas envie de savoir à ce que tu penses ou je serai gênée jusqu'à la fin de mes jours chaque fois que je te verais poser tes yeux sur moi..."

Et voila, à peine avait-elle expliquer sa pensée, qu'elle sentait son regard sur sa peau, qu'elle soit habillée ou pas, il semblait avoir un regard qui perçait n'importe quoi.

Il eu un sourire amusé par ces mots, et caressa la joue puis le cou de Malicia.

- "Tu es pourtant tres belle quand tu rougis et que tu es genée, mais c'est vrai que si tu te voyais avec mes yeux ou entendais mes pensées, tu te cacherais surement de moi."

Il tourna doucement la tete de Marie vers lui et vint doucement lui voler ses levres, lui offrant un long et tendre baiser du matin, une main la tenant sous le menton l'autre sur son ventre. Il la gardait contre lui.

Pour partager ce baiser comme personne, avec la telepathie il partagea avec Marie tout ce qu'il ressentait sur le moment, la moindre emotion, comme un amour de 200 ans.

A croire qu'il aimait particulièrement la rendre mal à l'aise dans tout genre de situations, qu'elles le soient à la base ou qu'il les rendent par son regard ou par les mots qu'il utilise.
Elle sourit, décidement elle ne comprenait pas ce qu'il pouvait aimer en cela.
Son corp fut parcouru de frisons comme jamais, elle ressentait ses sentiments à elle et les siens en même temps. Ce baiser qui aurait pu être totalement ordinaire, était tellement intense pour Marie, sans précédent.
Quand elle se sépara de ses lèvres, elle resta pendant un bon moment incapable de parler ni même de penser. Ses sens étaient comme annéantit.
Après ce moment ou son esprit était un peu hors-circuit, elle le regarda dans les yeux. Elle ouvrit la bouche plusieur fois pour lui exprimer quelque chose, mais aucun sons y sortait. Elle réussit tout de même à exprimer le fond de sa pensée.

".......... Waouw!.......... Merci......."

Elle n'avait rien trouvé d'autre à dire, elle aurait été incapable de l'exprimer de toutes manières.

Il se mit a sourire sous cette reaction, souriant amusé.

- "Waouw? et bien ca c'est une drole de reaction."

Il caressa toujours la joue de Marie, passant ses doigts sur ses levres delicatement.

- "Tu as aimé cette sensation de partage? C'est ce que moi je ressens a chaque fois que tu es aupres de moi, ton emotion melanger à la mienne."

Il la serra un peu plus contre lui deposant un baiser sur son front tendrement. Se reculant doucement et recaressant encore la joue de sa belle.

Marie rit légèrement à la remarque de Nathaniel. Il ne pouvait jamais s'empêcher de la rendre riducule, bien que se ne soit pas forcément voulu.
C'était ce que Marie ressentait vraiment, mais elle était pratiquement incapable de l'expliquer, alors que lui il l'avait lu dans son esprit, et que le mot qu'elle avait prononcé ne représentait pas se sentiment.
C'était plus simple pour lui, il comprenait tout à l'avance...
Elle lui sourit néanmoins.

" Aimer? C'est un peu faible...."

Le ressentir à chaque fois, pas forcément, le ressentir en permanance arriverait finalement à un lassement du bonheur qu'elle ressentait, c'était bien au contraire par le fait qu'il soit unique qu'elle l'avait ressentit aussi fortement.
Elle était tellement bien avec lui, dans ses bras. C'était magique, improbable, comme un rêve qui se serait matérialisé devant ses yeux.

Il sourit, la serrant contre son coeur doucement, caressant ses cheveux doucement.

- "Marie... Tes pensées sont si douce, on dirait que je suis devenu une drogue pour toi, une drogue dont on ne peut pas trouver de substitu."

Il etait bien, calme, un peu plus humain, la gardant contre lui, pensant que tout ceci le retarde dans son travail, mais apres tout ca fait 200 ans qu'il a pas profité.

Il revint juste deposer un baiser à ses levres tres doucement et delicatement sans dire un mot de plus.

Une drogue, c'était un peu près le mot qui se rapprochait le plus en effet. Elle rit doucement. Elle regarda par la fenêtre et, comme si elle revenait à la réalité, se décola un peu brusquement de Nathaniel.

" Pardonne-moi mais tu as dit que tu voulais aller travailler..... je ne veux pas te retarder! On a la vie devant nous!^^"

Elle lui fit un sourire en inclinant la tête un peu gênée par sa brusque réaction.
Elle ne voulait pas qu'il s'en aille, mais elle ne devait pas l'empêcher de vivre sa propre vie lui aussi.
Elle pouvait se permettre de rien faire, passer sa journée à lire, mais peut-être qu'il avait des choses plus importantes à faire.

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